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Pour les sportifs & les non sportifs voici une page dans laquelle vous trouverez les sports les plus pratiqués au Pakistan.

LE HOCKEY SUR GAZON

Tout d'abord nous trouvons le Hockey sur gazon. C'est un sport très suivi par les pakistanais. C'est un sport collectif mixte créé en 1861 à Londres. Au hockey sur gazon, il y a 22 joueurs (11 dans chaque équipe) et 2 arbitres qui sont chacun sur une ligne de touche. Un match de hockey dure 1h avec une pause à la mi-temps.Jusqu'en 1998, Le pakistan a gagné la coupe du monde messieur (organisé tous les 4 ans) 4 fois: la première en 1971, la seconde en 1978, la troisième en 1982, et la dernière en 1994.

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Les origines du hockey

Au cœur de la vallée du Nil en Égypte, se trouve le village de Beni Hasan, célèbre pour ses tombeaux creusés à même la falaise 2000 ans avant JC. L'une des tombes est ornée d'un dessin représentant deux hommes tenant chacun un bâton à bout recourbé prêts à frapper une balle. Avec du gazon synthétique et des protège-tibias, on pourrait croire qu'il s'agit de la compétition de hockey aux Jeux Olympiques de Sydney 2000.

Le hockey est l'un des sports les plus anciens, dont l'origine remonte probablement à plus de 1200 ans avant les Jeux de l'Antiquité à Olympie. En effet, selon les historiens, le hockey était déjà pratiqué dans bon nombre des premières civilisations.

Les Arabes, les Grecs, les Romains, les Perses et les Éthiopiens jouaient au hockey sous des formes différentes. Plusieurs siècles avant la découverte du Nouveau Monde, les Indiens Aztèques s'adonnaient à ce sport en Amérique Centrale. Les Araucans d'Argentine pratiquaient un sport très proche du hockey appelé «cheuca» qui, croyaient-ils, leur permettrait de devenir de grands guerriers.

Manifestement, les Indiens d'Amérique du Nord pratiquaient une forme plus rude de hockey. Les cages des buts se trouvaient à plusieurs kilomètres l'une de l'autre, la partie commençait au lever du soleil et se terminait au coucher du soleil et les équipes étaient généralement constituées de centaines voire de milliers de joueurs.

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Il semblerait cependant que le terme hockey soit d'origine française. Un document irlandais datant du XVIe siècle fait référence au «hockie» ; mais le mot vient certainement du français «hocquet» signifiant «la houlette du berger». Le jeu moderne connu sous le nom de hockey - ou hockey sur gazon, pour ceux qui le distinguent du hockey sur glace - naquit au XIXe siècle dans les îles britanniques. Ce sport, très populaire dans les écoles anglaises, se serait inspiré du hurling irlandais. L'armée britannique a contribué à populariser la pratique du hockey dans le reste du monde, notamment en Inde et au Pakistan où ce sport est très suivi. L'association de Hockey de Londres fut fondée en 1886 et établit aussitôt les règles du jeu. La Fédération Internationale de Hockey fut créée à Paris, en 1924.

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Les règles du hockey


Pour qu'il y ait un but, il faut qu'un joueur shoot dans la zone qui est à 14m du but.
Au hockey, le hors jeu n'existe pas.
On ne doit pas lever la balle au-dessus du genou car c'est considéré comme jeu dangereux.
Comme autres fautes au hockey on a :
            le bout rond qui est le côté rond de la cross dont on ne doit pas se servir ;
            le pied qui ne doit toucher la balle.
Pour les coup de pied arrêtés, il existe : le coup franc quand il y a une faute,
            le petit corner quand un défenseur fait une faute involontaire dans la zone,
            le grand corner quand un défenseur met la balle derrière sa ligne de but 
            le strok (pénalty) quand il y a une grosse faute ou une faute volontaire dans la zone.


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L'équipement du hockey

Pour jouer au hockey, il faut : une cross, une paire de crampons, un gant à la main gauche et des protèges tibias.
Il y a 4 types de terrains au hockey : les synthétiques qui peuvent êtres mouillés, sablés ou mixtes et les terrains à gazon naturel.
Un terrain mesure 91,40 m de longueur et 55 m de largeur.
Une cross pèse entre 340 et 794 g et elle est plate sur le côté gauche.
Un but mesure 3,66  m de large et 2,14 m de haut.

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Les compétitions

Au hockey, il y a différentes compétitions qui sont principalement : la Coupe du monde, le championnat d'Europe des nations, une coupe d'Europe des clubs, il figure au programme olympique depuis 1908 pour les hommes et depuis 1980 pour les dames. Il existe aussi des championnat nationaux ainsi que des compétitions en salle pour la période hivernale. La fédération française, créée en 1920, 4 ans avant la fédération internationale, compte 10 000 licenciés.    

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Joueurs du pakistan actuellement:

2004 ( 12 )
KAMRAN ASHRAF MUHAMMAD TARIQ IMRAN ATIF BASHIR KASHIF JAWWAD
MUHAMMAD NADEEM IRFAN YOUSAF WASEEM AHMED IMRAN YOUSAF
ALI RAZA SAMEER HUSSAIN. SOHAIL ABBAS MUHAMMAD QASIM

Liens:
Pakistan Hockey Fédération



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LE CRICKET

Parlons à présent du sport national du Pakistan. Comme vous pouvez le remarquer c'est le cricket. Le cricket se joue entre deux équipes de onze joueurs, sur un terrain ovale généralement en gazon, qui mesure 135 mètres sur 150. Les équipes sont normalement composées de joueurs ayant des qualités complémentaires : certains sont plutôt des batteurs, d'autres plutôt des lanceurs, certains sont à l'aise dans les deux positions. Enfin, le gardien qui se trouve derrière le guichet, avec un équipement de protection spécial, est souvent un joueur à part. Le pakistan possède le statut "test" et le statut "ODI".

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le "test" qu'est ce que c'est ? Le cricket « test » est une forme de cricket international. De nos jours, les test matches sont joués en 5 jours, sans jour de repos.



le "ODI"contraction de One Day International : C'est suite à la pression des chaînes de télévision, qui voulaient un format plus court et plus palpitant, que le cricket « one day » (en une seule journée) a été introduit dans les années 1960. Dans cette forme de cricket, chaque équipe n'est à la batte pendant une période, soit deux périodes en tout. Généralement, la première période a lieu l'après-midi, et la seconde le soir, éclairée aux projecteurs. Le nombre de manches est limité, généralement à 50 pour les matches internationaux.

Voici les nom de quelques joueurs pakistanais très connus dans le monde entier:

Imran Khan

Wassim Akram

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Shahid Afridi ( joueur connu et très demandé par le peuple car il détient le record du joueur marquant une cinquantaine et une centaine de points très rapidement)

Inzimam-ul-haq (capitaine de l'équipe actuelle)

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Shohaib Akthar (lanceur de balle le plus rapide du monde

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Le Pakistan a gagné jusqu'a aujourd'hui une seule coupe du monde en 1992 (the Benson and Hedges World Cup) opposant le Pakistan à l'Angleterre. Le Pakistan a aussi joué la finale de coupe du monde (the ICC World Cup) en 1999 mais elle fut battu par l'Australie.

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La coupe du monde a eut lieu tous les 4 ans. La prochaine aura lieu en 2007. Pour les fans de cricket voici un programme détaillé : Programme 

Visualisez quelques extrait de video des plus grand moments:

ZAHEER
MAJID
JAVED
INZAMAM
IMRAN KHAN vidéo 1
IMRAN KHAN vidéo 2
IMRAN KHAN vidéo 3
WAQUAR YOUNIS
WASIM AKRAM
SHOAIB vidéo 1
SHOAIB vidéo 2
SHOAIB vidéo 3




Structure d'un match

La rencontre est divisée en innings (tours de batte, ou périodes). Les équipes alternent en effet à la batte, c'est l'équivalent du service au tennis. L'équipe qui batte est dite in. Le but de l'équipe in est de marquer le plus grand nombre de points (runs) avant que l'équipe adverse ne les en empêche. L'objectif de l'autre équipe est de faire sortir le batteur adverse aussi vite que possible. Pour qu'une équipe soit all out, le but de l'équipe défendante est de faire manquer leur coup à dix batteurs, le joueur restant étant appelé le not out.

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Chaque période est subdivisée en manches (overs), qui consistent en six lancers de balles (autrefois, lorsque chaque pays décidait de la durée d'une manche, elles pouvaient aller de quatre à six balles selon les pays). À la fin d'une manche, l'équipe qui défend doit échanger les positions de ses lanceurs et renvoyer la balle à l'autre bout du terrain, puis à l'autre membre du duo de batteurs.

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Sortie des batteurs

Le batteur peut être sorti de différentes façons.

  • Bowled : le lanceur a réussi à détruire le guichet (faire tomber au moins un des témoins) du batteur. Peu importe si c'est la balle qui a détruit le guichet ou le batteur lui-même, en voulant protéger son guichet.
  • Caught : si l'un des chasseurs (joueurs de champ) ou le lanceur intercepte la balle frappée par le batteur, avant que celle-ci ne touche le sol.
  • Stumped : si le gardien du guichet (situé derrière celui-ci) détruit le guichet avec la balle, alors que le batteur a dépassé la ligne pour jouer la balle.
  • Run out : un chasseur (joueur de champ) détruit le guichet avec la balle alors que les deux batteurs accomplissent leurs runs. C'est alors qui se trouve le plus près du guichet détruit qui est déclaré hors jeu (sauf évidemment s'il se trouve à l'intérieur de la ligne).
  • Leg before wicket ou LBW : si le batteur fait obstruction à la destruction du guichet avec son corps (pas nécessairement les jambes). Peu importe que l'obstruction soit volontaire ou non. Il faut également que l'arbitre décide que, sans cette obstruction, la balle aurait détruit le guichet.

Ci-dessus figurent les cas les plus fréquents de sortie du batteur. Néanmoins, d'autres cas plus rares peuvent se présenter.

  • Hit wicket : le batteur ou sa batte détruit son propre guichet.
  • Hit the ball twice : le batteur a frappé deux fois la balle. La deuxième frappe doit être une frappe réelle — le batteur a le droit d'arrêter la balle deux fois en interposant sa batte, sans effectivement la frapper.
  • Handled the ball : le batteur a touché la balle avec sa main. Il n'a le droit de le faire qu'avec l'approbation des chasseurs, sinon il est déclaré hors jeu. Dans l'histoire du cricket test, cela n'est arrivé que six fois.
  • Obstructing the field : le batteur a gêné l'un des chasseurs. En fait, il s'agit surtout d'empêcher le batteur de pousser un chasseur — il a tout à fait le droit de se placer dans son champ de vision, ou de se placer en obstacle entre le chasseur et le guichet. Seul un batteur dans l'histoire du cricket test, Len Hutton (Angleterre) a commis une telle faute.
  • Timed out : si le nouveau batteur met plus de deux minutes à prendre sa position, après que le précédent batteur a été sorti. Cela n'est jamais arrivé dans l'histoire du cricket test.

Enfin, un joueur peut être « retiré, non sorti » (ou encore « retiré pour blessure »). Il peut choisir de revenir sur le terrain après traitement, auquel cas il doit attendre que l'un de ses camarades soit déclaré hors jeu. C'est à l'arbitre qu'il revient d'autoriser le joueur à se retirer pour blessure. Si le joueur persiste à vouloir quitter le jeu, il peut le faire, mais sera déclaré définitivement hors jeu et ne pourra revenir sur le terrain.

Dans les cas suivant : bowled, leg before wicket, caught, stumped, et hit wicket, le batteur n'est déclaré hors jeu que si la balle est jugée valide par l'arbitre. Si ce n'est pas le cas (no ball), il continue à batter. Dans les cas de run out, handled the ball, hit the ball twice, obstructing the field et timed out, le batteur est déclaré hors jeu quelle que soit la validité de la balle.

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Décompte des points

Il existe plusieurs manières de marquer des points.

Un batteur qui marque lui-même 100 points dans une manche est dit avoir marqué une centaine (century), fait non négligeable au cricket. De la même manière, les joueurs peuvent marquer des double, triple, quadruple (ce qui n'est jamais arrivé en cricket test) voire quintuple (ce qui est arrivé une fois en cricket première classe).

Le batteur peut marquer ainsi :

  • chaque fois que les deux batteurs échangent leurs positions, avant destruction du guichet, le batteur qui a frappé la balle marque un point. Si un seul échange de positions a lieu sur la balle, alors c'est un single (point unique). Pour deux échanges, c'est un double, trois échanges, un triple. Il n'y a pas de nom particulier pour plus de trois échanges sur une balle.
  • si la balle sort du terrain, et si elle a touché le sol avant de sortir, quatre points sont marqués. C'est ce qu'on appelle un quatre. Si la balle n'a pas touché le sol avant de sortir, 6 points sont marqué. Logiquement, c'est un six.

Des points peuvent également être marqués quand le lanceur échoue à lancer la balle de manière valide.

  • Il y a no ball (balle illégale) quand le lanceur, le gardien du guichet ou un chasseur commet une action illégale pendant le lancer. La faute la plus fréquente consiste à dépasser la ligne de son pied avant au moment du lancer. Il est plus rare qu'un lanceur recule trop, dépassant ainsi de son pied arrière la ligne de derrière. Une troisième cause de no ball est une façon de lancer illégale. Le lanceur doit en effet donner à l'arbitre, qui les transmettra après au batteur, des indications sur son lancer: avec quelle main il va lancer, de quel côté etc. , si celles ci ne sont pas respectées lors du lancer , l'arbitre peut juger qu'il y a « no-ball » . Ce dernier point a causé récemment de nombreux remous au sein de la communauté internationale. La pénalité pour une balle illégale est d'un point. En outre, une telle balle ne compte pas pour le décompte des lancers d'une manche, mais compte pour les statistiques personnelles du batteur.
  • Une balle lancée hors de portée du batteur est déclarée wide ball si le batteur n'a effectivement pas réussi à la toucher. La définition d'une balle hors de portée est plus stricte pour un match à manches limitées. La pénalité d'une wide ball est également d'un point. En outre, la balle ne compte pas dans le décompte des lancés de la manche.
  • Si le batteur ne parvient pas à renvoyer la balle (sans que celle-ci soit hors de portée) et si le gardien du guichet n'y parvient pas non plus, le batteur peut se lancer dans des runs.
  • Si la balle frappe le batteur lui-même sans qu'il y ait obstruction (leg before wicket), le batteur peut se lancer dans des runs.
  • Si la balle est perdue, l'un des chasseurs doit le déclarer. Si l'arbitre confirme que la balle est perdue, l'équipe à la batte marque six points. La chose arrive rarement en cricket international. La règle est plutôt conçue pour des terrains amateurs, comportant des arbres ou des buissons.
  • L'arbitre est libre de donner cinq points de pénalité à une équipe coupable de certains comportements répréhensibles, parmi lesquels : ralentissement intentionnel du jeu, dégradation intentionnelle du terrain de jeu, tentative de triche pour gagner des points, tentative de distraction du batteur, etc.


Règles du cricket

Les règles du cricket constituent un ensemble codifié par le Marylebone Cricket Club (alias MCC), l'une des instances dirigeantes du cricket, et publié en 1775. Elles standardisent le déroulement et la correction des rencontres en deux périodes partout dans le monde.

Les règles ont beaucoup changé depuis le XVIIIe siècle mais les points suivants demeurent identiques :

  • choix de la première équipe à batter : tirage à pile ou face
  • dimensions du pitch et placement de la ligne devant le guichet (popping crease)
  • dimensions des piquets et des témoins
  • poids de la balle
  • nombre de lancers par manche
  • règle du no ball (lancer illégal)
  • règles de sortie du batteur
  • temps alloué au batteur pour remplacer le batteur précédent

Les Règles à proprement parler comportent une préface, un préambule, un corpus de 42 règles et quatre annexes. La préface traite du MCC et de l'histoire des règles. Le préambule est un ajout récent au sujet de l'esprit du jeu. Il a été adjoint aux Règles pour prévenir le développement de pratiques non sportives.

Le Conseil international du cricket (International Cricket Council, ICC) a mis en place, lui, les Conditions standard de jeu pour les test-matches et les Conditions standard de jeu pour les One Day Internationals. Ces deux ensembles de règles s'ajoutent aux règles du MCC. De la même façon, chaque pays joueur de cricket a mis en œuvre des règles de jeu pour les rencontres nationales.

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Conduite sur le terrain

Au cricket, un comportement honorable est requis de la part de tous les joueurs. Selon les règlements de l'ICC, les joueurs peuvent voir leur salaire diminué ou être suspendus pendant un certain nombre de matchs, voire d'années. L'ICC nomme un arbitre général pour chaque test-match et chaque ODI. Cet arbitre n'a aucun pouvoir durant le jeu, il s'agit plus d'un officiel chargé du bon déroulement du match. Il peut recevoir les requêtes des joueurs, des officiels de chaque équipe, et des arbitres. Il peut auditionner les parties en conflit, infliger aux joueurs des amendes proportionnelles à leur prime de match. L'arbitre de match peut également demander l'intervention d'un organe supérieur, qui peut infliger des sanctions alant jusqu'à la suspension à vie.

Parmi les infractions graves, entraînant les sanctions les plus lourdes, figurent :

  • les paris sur l'issue des rencontres
  • le trucage d'un match
  • la corruption d'un joueur en vue de l'une des deux fautes précédentes
  • la non-dénonciation du trucage d'un match, ou de paris sur un match

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Les autres infractions sont classés en catégories de niveau 1, 2, 3 ou 4 :


Infractions de niveau 1

  • infraction au code des couleurs et logos (logo commercial ou habillage de la batte exceptés)
  • mauvaise utilisation de son équipement ou des installation (jeter ou frapper sa batte, par exemple)
  • contestation, par la parole ou par le geste, d'une décision d'un arbitre
  • langage obscène, grossier ou insultant
  • contestations excessives
  • fait de montrer agressivement le pavillon (où les joueurs se retirent), à un batteur adverse qui va se retirer

Infractions de niveau 2

  • récidive d'une infraction de niveau 1 dans les 12 mois qui suivent
  • contestation sérieuse, par la parole ou par le geste, d'une décision d'un arbitre
  • infraction au code des couleurs et logos concernant un logo commercial ou l'habillage de la batte
  • critique publique d'un incident du match, ou d'un officiel du match
  • contact physique délibéré et inacceptable avec un autre joueur, pendant le match
  • conduite agressive envers un arbitre pendant une contestation
  • distraction délibérée des autres joueurs, obstruction sur le terrain
  • fait de lancer violemment la balle en direction d'un joueur, d'un arbitre ou d'un officiel
  • langage obscène, agressif ou très insultant envers un autre joueur, un arbitre, un officiel ou un spectateur
  • trucage de la balle, en infraction avec la règle 42.3
  • toute tentative de truquer un match, que ce soit du point de vue du résultat, du nombre de points ou de toute autre statistique

Infractions de niveau 3

  • récidive d'une infraction de niveau 2 dans les 12 mois qui suivent
  • intimidation envers un arbitre
  • menaces envers un joueur, un officiel ou un spectateur

  • langage ou geste insultant à connotation raciale, religieuse, sociale, nationale ou ethnique

Infractions de niveau 4

  • récidive d'une infraction de niveau 3 dans les 12 mois qui suivent
  • menaces envers un abitre
  • agression d'un autre joueur, arbitre, officiel ou spectateur
  • acte de violence durant le jeu
  • langage ou geste très insultant à connotation raciale, religieuse, sociale, nationale ou ethnique

Les sanctions pour chaque infraction varient suivant le niveau :

  • niveau 1 : amende — de 0% à 50% de la prime de match
  • niveau 2 : amende — de 50% à 100% de la prime de match ; suspension d'un test-match ou de 2 ODI
  • niveau 3 : suspension — de 2 à 4 test-matchs ou 4 à 8 ODI
  • niveau 4 : suspension — de 5 test-matchs à la suspension à vie, ou de 10 ODI à la suspension à vie

Pour les infractions de niveau 3 et 4, le montant des amendes est fixé par l'ICC sans corrélation avec la prime de match. Les infractions concernant les paris ou le trucage de matchs sont punis d'une suspension qui va de la suspension de 12 mois à la suspension à vie. Les amendes peuvent être fixées librement.

Formes de cricket

Cricket Le cricket « test » est une forme de cricket international. Le premier test-match eut lieu le 15 mars 1877, durant la tournée de l'équipe d'Angleterre en Australie en 1876–1877. Il n'y avait pas de limitation de durée, et le nombre de lancers par manche était fixé à 4. Le match prit fin le 19 mars par une victoire de l'Australie avec 45 points d'avance.

Depuis, plus de 1000 test matches ont été joués. En 2000, le nombre de pays pouvant jouer des test matches est passé à 10, avec l'arrivée du Bangladesh. De nos jours, les test matches sont joués en 5 jours, sans jour de repos.

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Cricket « première classe »

Le cricket « première classe » (first-class) ressemble au cricket test, sauf que les matches durent au moins 3 jours. Techniquement, le cricket test est un cricket première classe, mais l'expression est habituellement réservée aux rencontres nationales, entre régions ou entre villes.

Cricket « One Day »

C'est suite à la pression des chaînes de télévision, qui voulaient un format plus court et plus palpitant, que le cricket « one day » (en une seule journée) a été introduit dans les années 1960. Dans cette forme de cricket, chaque équipe n'est à la batte pendant une période, soit deux périodes en tout. Généralement, la première période a lieu l'après-midi, et la seconde le soir, éclairée aux projecteurs. Le nombre de manches est limité, généralement à 50 pour les matches internationaux. Cette forme de jeu a attiré tout de suite de nouveaux amateurs : il n'y a plus besoin de réserver 5 jours pour suivre un match, les joueurs peuvent porter des tenues olorées (d'où le surnom de « cricket pyjama »), contrairement aux test-matches où les joueurs jouent en blanc. Enfin, le jeu est plus rapide, avec plus d'intérêt dramatique.
Pourtant, beaucoup de puristes affirment que le cricket « test » demande beaucoup plus de sens stratégique, et que seul il déploie tous les aspects du jeu. Ils reprochent au cricket « one day » de mettre trop l'accent sur le marquage rapide de points. Quoi qu'il en soit, le cricket « one day » ne fait pas partie du cricket première classe.

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Cricket « liste A »

Le cricket « liste A » est au cricket « one day » ce que le first-class est au cricket test. La plupart des nations du cricket possèdent des compétiions de forme « liste A ». Les manches sont généralement limitées, la limite court de 40 à 60. Cette catégorie n'a pas d'existence officielle pour l'ICC. C'est une invention de l'Association des historiens et statiticiens du cricket (ACHS), forgée pour le parallèle avec le fist-class.

Cricket club

Le cricket club est un cricket amateur, mais doté de règles formelles. Dans la grande majorité des cas, le nombre de manches est limité, usuellement à 30 ou 35 par période. Le cricket club est pratiqué de manière intensive dans les nations du cricket, mais aussi ailleurs par leurs émigrants. Il est fréquent de rencontrer des terrains de cricket club dont le pitch est en herbe synthétique.

Cricket de plage

Le cricket de plage (beach cricket) est un terme appliqué à toutes les formes informelles de cricket, même s'il n'est pas joué sur une plage. Les règles sont habituellement issues d'un consensus entre les deux équipes, avant la partie. Bien souvent, les règles les plus complexes et les plus subtiles du cricket, comme le LBW, sont ignorées ou adaptées.

Pays jouant au cricket à un niveau international

Les équipes possédant le statut « test » (habilitées à jouer des test matches) sont, par ordre d'ancienneté, l'Australie, l'Angleterre, l'Afrique du Sud, les Indes occidentales, la Nouvelle-Zélande, l'Inde, le Pakistan, le Sri Lanka, le Zimbabwe et, depuis 2000, le Bangladesh. Le Kenya possède, lui, le statut one-day international. Bien que le Kenya ne soit pas habilité à jouer des matches test, tout comme les pays « test », il n'a pas à disputer les éliminatoires pour la Coupe du monde.

Les autres nations du cricket sont l'Argentine, le Canada, le Chili, Hong Kong, Israël, la Namibie, les Pays-Bas, l'Écosse, Singapour, et les États-Unis.

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Structure du cricket international

Tournées, séries et tournois

Le cricket international n'a pas de structure formelle à proprement parler. Pourtant, les pays où se joue le cricket ont toujours organisé, sans intervention de l'ICC, leurs propres rencontres. La plupart des test-matches et des séries d'ODI prennent la forme de tournées.
Au cours d'une tournée, une équipe nationale se rend dans un autre pays et joue des matches d'entraînement ou de première classe contre des équipes régionales du pays d'accueil. Elle joue également des test-matches contre l'équipe nationale du pays, ou des ODI. Enfin, elle peut jouer des « tournois triangulaires » contre l'équipe nationale du pays d'accueil et une autre nation en tournée. Généralement, ces tournois triangulaires ont lieu au début ou à la fin d'une tournée. Dans ce type de tournoi, les trois équipes jouent l'une contre l'autre deux ou trois fois. Les deux équipes ayant marqué le plus de points (on compte 2 points pour une victoire, 1 point pour un match nul et 0 pour une défaite) jouent une finale.
organisent des séries de cinq matches, alors que les pays amateurs d'ODI, comme l'Une série de test-matches peut compter de un à six matches, bien que ce dernier chiffre soit très rarement atteint. Les séries les plus importantes se jouent en cinq matches, les moins importantes en deux à quatre. En fait, la durée des séries dépend beaucoup de l'attitude du pays d'accueil envers les ODI : les nations plus conservatrices comme l'Angleterre ou l'AustralieInde, préfèrent des séries de trois rencontres.
Pour la plupart des tournées, il existe un trophée décerné au vainqueur des séries. Pour les tournées Angleterre contre Australie, ce sont les Cendres (Ashes), pour Australie-Indes occidentales, c'est le trophée Frank Worrel.
Les séries d'ODI comptent de trois à sept matchs. Il est habituel de jouer une série courte d'ODI en même temps qu'une série longue de test-matches. Outre les tournées, les nations du cricket peuvent organiser des ODI en terrain neutre. La Coupe Sahara était une série d'ODI joués tous les ans entre l'Inde et le Pakistan à Toronto (Canada), avant que le gouvernement indien n'ordonne la cessation de tous les liens de cricket avec le Pakistan. Contrairement aux ODI, les test-matches ne sont jamais joués en terrain neutre.

Outre les séries et les tournois aménagés par les pays eux-mêmes, l'ICC organise deux événements. La Coupe du monde de cricket a lieu tous les quatre ans. Y participent les pays ayant le statut « test », le Kenya et d'autres pays issus des éliminatoires. Le Trophée des champions se tient tous les quatre ans, entre les Coupes du monde. C'est un tournoi où une seule défaite entraîne l'élimination.

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Quelques liens pour les passionnés de cricket:
http://www.geocities.com/cricketpakistan/index.html
http://www.pakpassion.net/



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KABADI

Le kabadi (lutte pakistanaise, jeu traditionnel) est joué par deux équipes de 12 joueurs chacune sur des 12,50 mètres par la cour rectangulaire de 10 mètres dans laquelle un joueur, tout en tenant son souffle, se précipite dans le secteur de l'équipe opposée, touche un certain joueur et lutte pour revenir à la maison sans risque sans libérer son souffle et marque de ce fait le point pour son équipe. L'équipe se compose de 12 joueurs mais le jeu seulement sept dans la cour et le repos restent hors de la cour comme frais supplémentaires.

Le Kabadi est un jeu dans lequel deux équipes de joueurs forment une ligne. Un joueur tente d’atteindre l’autre équipe et de revenir sans se faire attraper, tout en répétant le mot « kabadi » d’une seule traite. Dans le jeu du gutti (cinq pierres), les enfants placent cinq pierres sur le dos de la main, puis les lancent en l’air et essaient de les rattraper toutes les cinq de la même main. 

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L'origine de Kabaddi peut être tracée aux périodes préhistoriques où l'homme a appris comment défendre dans les groupes contre des animaux ou attaquer des animaux plus faibles individuellement ou dans les groupes pour la survie et la nourriture. Bien que Kabaddi soit principalement un jeu asiatique du sud, pas beaucoup est connu au sujet de l'origine de ce jeu. Il y a, cependant, d'évidence concrète, que le jeu est de 4.000 ans de vieux.. Kabaddi est un jeu très populaire au Bangladesh , particulièrement dans les villages que ce s'appelle également le jeu du Bengale rural . Dans quelques secteurs Kabaddi est également connu comme Ha-du-du. Mais en dépit de sa popularité Ha-du-du n'a eu aucune règle définie et il était joué avec différentes règles dans différents secteurs. Ha-du-du a été donné le Kabaddi nommé et le statut de jeu national du Bangladesh en 1972. . En 1978, la fédération d'amateur de Kabaddi d'Asiatique a été formée à une conférence des délégués du Bangladesh , d'Inde , du Népal et du Pakistan dans la ville indienne de Villai. En 1979, un essai de retour entre le Bangladesh et l'Inde ont été tenus à différents endroits de l'Inde comprenant Bombay, Hyderabad, et le Pendjab. Le championnat de Kabaddi d'Asiatique a été avec succès arrangé en 1980 et l'Inde a émergé comme champion et Bangladesh comme coureurs-vers le haut. Le Bangladesh est devenu des coureurs-vers le haut encore en 1985 dans le championnat asiatique de Kabaddi tenu à Jaipur, Inde. Les autres équipes incluses dans les tournois étaient le Népal, la Malaisie et le Japon. Kabaddi a été joué comme sport de démonstration aux 1936 Jeux Olympiques d'été à Berlin. Le jeu a été inclus pour la première fois dans les jeux asiatiques tenus dans Beijing en 1990. Huit pays ont participé comprenant l'Inde, Chine, Japon, Malaisie, Sri Lanka, Pakistan et Bangladesh. L'Inde a gagné la médaille d'or et la a depuis lors l'or gagné aux trois jeux asiatiques suivants à Hiroshima en 1994, à Bangkok en 1998 et Busan en 2002.




LE SQUATCH

La première balle de Squash fût furieusement frappée contre un mur par des détenus de la prison de Fleet Debtors à Londres au début du 19è siècle. De lourdes battes et non des raquettes étaient utilisées, la balle était dure et les règles étaient peut nombreuses s'il y en avait. Mais ce fut certainement le lieu qui vît les premières ébauches du squash moderne. Etrangement, certains le trouveront logique, le nouveau jeu quitta la cour de la prison pour arriver à la prestigieuse école publique de Harrow dans la banlieue londonienne où il fût utiliser comme entraînement par les plus jeunes élèves au fameux jeu de 'rackets". En effet à cette époque un jeu nommé le "rackets" (se jouant avec une balle en buis et une raquette contre des murs et un sol en ciment) faisait alors rage en Angleterre. Ce jeu du rackets tient ses origines du Moyen-âge. En attendant que le court de rackets se libère, les jeunes "Harrowians" avaient improvisé en guise d'échauffement une balle en chiffon et en caoutchouc, qu'ils renvoyaient contre les murs de plusieurs bâtiments adjacents. Le bruit de cette balle qui s'écrasait contre les murs donnera le nom de 'SQUASH".

Ainsi était né le squash rackets qui allait avec le temps se dissocier de son frère plus noble le Rackets.Bien que de nombreux courts furent construits dès la fin du 19è siècle dans des résidences privées les publics schools et dans des clubs de Londres, et que les règles du jeu furent établies en 1886, le court ne fut normalisé qu'en 1911 par un sous-comité de la Tennis and Rackets Association.

Les dimensions choisies furent celles du court du club de Bath (qui existe encore aujourd'hui) sans doute parce que la plupart des membres du comité étaient membres de ce club. L'assemblée inaugurale de la S.R.A. (organisation directeur du squash en Grande-Bretagne) fut tenue en 1928, et marqua une étape importante dans le développement du jeu.

Au début de la seconde guerre mondiale, la S.R.A. comptait 146 clubs affiliés, par rapport à 25 seulement en 1929. C'est l'armée anglaise qui donnera au Squash son essor international l'emmenant dans ses bagages dans tout l'empire. Tandis que le squash trouvait des adeptes un peu partout dans le monde, le Pakistan commençait à produire les meilleurs joueurs du monde. fédération internationale. Hashim Khan simple ramasseur de balle des officiers britanniques au Pakistan, s'affirma comme le maître incontesté des années 50 et depuis passé à la légende. Avec son frère Azam et son cousin Roshan, le nom des Khan s'est acquis une renommée mondiale. Jahangir Khan n°l mondial pendant une dizaine d'années puis Jansher Khan n°l dans les années 90 en sont les plus récent exemples. Il a fallu cependant attendre l'après guerre et les années 1960 pour assister à l'explosion mondiale de ce sport. Par suite de la forte croissance du squash, l'association internationale de squash fut créée en 1967, lors d'une assemblée spéciale en Australie. L'association compte plus de 45 pays membres en 1985, et le squash se développe rapidement au niveau international, surtout dans les pays anglo-saxons. C'est également en 1967 que se tinrent les premiers championnats du monde amateurs.

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Liens

http://www.paksquash.com/

http://www.squashtalk.com/pakistan/


Le football

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Le Pakistan doit encore faire ses preuves

Ce sont les soldats britanniques qui ont, les premiers, introduit le football dans le sous-continent indien au 19e siècle. Pourtant, tout comme leurs voisins indiens, les Pakistanais n'ont jamais vraiment réussi à s'approprier ce sport, lui préférant le cricket. De ce fait, le Pakistan reste un acteur mineur, même sur le plan continental, comme en témoignent les résultats de l'équipe nationale lors des éliminatoires de la Coupe du Monde de la FIFA, Corée/Japon 2002.

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Dernier de son groupe au tour préliminaire avec un point en six matches, le Pakistan comptait une différence de buts de -24, ce qui résume assez bien ses graves lacunes actuelles. Tout juste retiendra-t-on le spectaculaire match nul 3-3 arraché au Sri Lanka.

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Le Championnat d'Asie du sud 2003 s'est avéré plus satisfaisant pour le Pakistan. Tout a commencé par une victoire de prestige devant l'Inde, tenante du titre. C'est Sarfraz Rasool, le buteur de la sélection pakistanaise, qui inscrit le but de la victoire. Deux nouveaux succès, contre l'Afghanistan et le Sri Lanka, ont permis au Pakistan de terminer premier de son groupe. En demi-finales, l'équipe a finalement dû s'incliner sur la plus petite des marges devant les Maldives, mais il ne fait aucun doute que ce tournoi réussi a redonné le moral à tout un groupe. Rasool, de son côté, a terminé meilleur buteur de la compétition avec quatre réalisations.

Malheureusement, le manque de matches de haut niveau fait que ces résultats restent bien fragiles. Une défaite sans appel devant Singapour (0-3) a mis fin à l'aventure pakistanaise dans les éliminatoires de la Coupe d'Asie 2004.

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Les hommes de Tariq Lutfi se sont fait sortir dès le tour préliminaire des qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA 2006. Après s'être inclinés 0-2 chez eux au match aller, ils ont en effet encaissé un sévère 0-4 au Kirghizistan. Le Pakistan, qui à une époque faisait partie des dix meilleures équipes du continent asiatique, devra maintenant patienter avant de retrouver le chemin d'une compétition internationale.

Fondée 1948
Affiliée 1948
Participations
en Coupe du Monde
Aucune
Palmarès
en Coupe du Monde
Aucune
Titres continentaux 2 fois vainqueurs des Jeux de la Fédération Sud-asiatique (1989, 1991)
Faits marquants:

  • Le Pakistan a participé pour la première fois à des éliminatoires de Coupe du Monde de la FIFA à l'occasion du Mondial 1990. Mais, à la date d'aujourd'hui, l'équipe attend encore sa première victoire.

  • Lors des qualifications pour la Coupe du Monde 2002, l'équipe a obtenu de haute lutte son premier point en faisant match nul 3-3 contre le Sri Lanka, après s'être inclinée 0-2 à domicile contre cette même équipe. L'équipe pakistanaise a cependant dû se contenter de la dernière place de son groupe, dominé par la Thaïlande.

  • La plus large victoire jamais obtenue par une formation pakistanaise remonte à 1960. L'équipe nationale avait alors pu fêter une victoire 7-0 contre la Thaïlande. La plus importante défaite jamais enregistrée remonte au début des années 90, lors d'un match contre l'Irak perdu 0-8. Le Pakistan n'a jamais paru en mesure de franchir l'obstacle du tour préliminaire des qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA 2006. Les Pakistanais se sont ainsi inclinés 2-0 et 4-0 face au Kirghizistan.

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Liens:

www.fifa.com

http://www.sports.gov.pk/html/3rd_SAF_pakistan_football_team.htm

Le volleyball

Le volleyball est un jeu d'intérieur joué par 2 équipes de six- ou extérieur dans un secteur rectangulaire divisé en cours carrées égales. Les deux équipes doivent frappé une grande boule dans les deux sens au-dessus d'un filet horizontal avec leurs mains.
Le volleyball a été développé aux Etats-Unis, et formulé en 1895 par William G.Morgan au gymnase de YMCA chez Holyoke, Massachussetts, particulièrement pour les hommes d'un certain âge qui ont trouvé le basket-ball trop vigoureux. Pour commencer par, un basket-ball a été employé et un filet a été placé entre les deux équipes. Le basket-ball a été trouvé trop lourd, par conséquent une boule plus légère a été faite. En premières années du siècle, le jeu s'est écarté en Asie et Europe. La fédération internationale de volleyball a été fondée à Paris en avril 1947. Le jeu a réalisé le statut olympique en 1964. La fédération de Volleyball du Pakistan s'appelle: PVF (PAkistan Volleyball Fédération).

Le tennis

Le tennis est un sport peut pratiquer par les pakistanais, mais le Pakistan a deja trouvé son étoile : AISAMUL HAQ

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L'étoile supérieure du tennis du Pakistan, Aisamul Haq maintenant sa course de rêve a gagné le championnat de tennis à terme d'cItf renversant la deuxième graine Sebastian,l' allemand Fitz dans un récit à suspense trois réglé, 2-6, 7-6 (7), 6-3 aux cours dures du centre national de tennis ici à Lagos, Nigéria mardi.

C'est une victoire historique et de borne limite pour Aisam car il a maintenant inclus le continent de l'Afrique, trop sur sa liste d'accomplissements. Il peut se rappeler qu'il a déjà gagné 33 titres dans des championnats internationaux sur les continents de l'Asie, de l'Europe, de l'Amérique du Nord et de l'Amérique du Sud.

Aisam avait atteint la finale de ce championnat du niveau le plus élevé de l'Afrique après avoir joué trois poseurs dans semi la finale et la finale quarte tandis que son adversaire, le joueur allemand fort et frappant dur avaient atteint la finale sans laisser tomber un ensemble simple sans éprouver une menace de ses adversaires respectifs dans le matches& rond précédent.

LA BOXE

Les pakistanais pratiquent maintenant aussi la boxe comme le jeune Britannique Amir Khan, 18 ans, argenté aux Jeux d'Athènes chez les 60 kg, affrontera, pour son premier combat professionnel, le Londonien David Bailey, samedi à Bolton. Après avoir pris sa revanche sur le Cubain Mario Kindelan, médaille d'or à en Grèce, qu'il a battu aux points, le 14 mai à Londres, pour son dernier combat chez les amateurs, Kahn a souhaité passer chez les pros. Il se prive ainsi d'un éventuel titre olympique à Pékin en 2008. Explication…

Explication : "Je n'ai plus rien à prouver après avoir battu Kindelan. C'était une bonne manière de finir ma carrière chez les amateurs. J'aurais aimé aller à Pékin en 2008 mais c'est loin et la carrière d'un boxeur est courte. " Le promoteur du nouveau prodige, Frank Warren, souhaite le voir sur les rings professionnels six fois par an. Mais, compte tenu de son jeune âge, il ne disputera pas le titre de champion d’Angleterre avant son vingtième anniversaire. Le combat se disputera à guichets fermés (7.000 places) et sera retransmis par la télévision qui avait enregistré une audience de 6,3 millions de téléspectateurs pour son dernier combat amateur contre Kindelan.

Khan, dont les parents sont originaires du Pakistan, a déjà annoncé qu'il souhaitait être champion du monde à 21 ans. Son premier rival chez les pros ne devrait pas lui poser de moindre problème, Bailey ayant perdu quatre des sept combats qu'il a effectués. "Je suis un peu plus fort, un peu plus affûté et un peu plus rapide que lorsque j'ai battu Kindelan et sachant que tout le monde veut me battre, je me suis entraîné plus durement encore", soutient-il. " Mon style ne changera pas. Je choisis mes coups et j'essaie d'être beau et élégant, propre et agile mais physiquement j'évolue tout le temps. Je deviens plus fort, mentalement et physiquement." Bailey, 24 ans, qui combat à domicile, espère pouvoir relever le défi avec succès. "C'est la chance de ma vie et je vais la saisir avec mes deux poings. La pression est sur Khan. On s'attend à ce qu'il gagne. Il aime tourner autour du ring et je dois lui mettre la pression sans arrêt. Je ne déteste pas..."

K.I.

aPakistan Zindabad

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